Ces dernier temps, il semble que ce mot ai retrouvé ses
lettres de noblesse : est-ce une prise de conscience générale (une femme meurt
sous les coups de son conjoint tous les deux jours et demi en France), un
anniversaire (les 40 ans de la loi Veil) ou la peur de revenir en arrière
(certains de nos voisins reviennent sur des droits fondamentaux) ?
Toujours est-il que s’affirmer féministe est redevenu à la
mode : ce n’est plus synonyme de frustrées détestant les hommes, ça ne
veut pas dire que l’on ne veut pas que ceux-ci soient galants, nous ouvrent
la porte ou nous offrent des fleurs … ça veut juste dire que, malheureusement
et à l'encontre de toutes les clés de la logique et des mathématiques, être une femme c’est
(encore) appartenir à une minorité.
Cela se traduit dans des choses tout à fait triviales : 25% de salaire en moins à poste équivalent (triviales parce que
pour certains, on devrait déjà s’estimer heureuse de travailler) mais aussi
dans des réflexions beaucoup plus graves : pour « célébrer » l’anniversaire
de la loi Veil, certains (futurs prix Nobel à n’en pas douter) font le compte
des « enfants » sacrifiés sur l’autel des droits de la femme …
Alors
messieurs (une grande minorité d’entre vous bien heureusement) : combien
de dizaines de millions d’enfants tués à chaque masturbation ? (entre 20 et
150 millions de spermatozoïdes sacrifiés à chaque éjaculation : un vrai
génocide !) Donc occupez-vous de vos couilles, et on s’occupe de notre
utérus.
A bon entendeur,
Lo et Li féministes à leurs heures
(Illustration du Meufisme : si vous ne connaissez pas encore, petits chanceux, la 1ère saison c'est ici )
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